[31] [Mittelfeld] Bastian #Schweinsteiger

Schweinsteiger :"50% de chance de passer"

En exclusivité pour Goal.com, Bastian Schweinsteiger - le milieu de terrain du Bayern Munich - a confié ses impressions avant de rencontrer l'Inter mercredi, en 8e de finale aller de la Ligue des Champions.

Le Bayern Munich rencontrera le champion en titre, l'Inter Milan mercredi, lors des 8es de finale aller de la Ligue des Champions. Le club Bavarois n'a qu'une seule envie, prendre sa revanche sur la terrible défaite de la saison dernière, lors de la finale de la prestigieuse compétition européenne. Bastian Schweinsteiger s'est confié en exclusivité à Goal.com sur ce duel au sommet. Le milieu de terrain a notamment confié qu'il était assez confiant pour une éventuelle qualification en quart de finale.

"Les deux matches contre l'Inter seront un réel challenge et nous sommes impatients d'y être. Et puis j'attends avec impatience de revoir mon ami Lucio. En théorie, nous avons 50% de chance de passer en quart de finale. Mais nous devrons travailler extrêmement dur si nous voulons réussir. Je suis confiant sur le faite que nous pouvons nous qualifier pour le prochain tour. Nous n'avons pas cessé de repenser à la finale perdue de la saison dernière. C'était vraiment douloureux de perdre ce match. C'est l'opportunité parfaite pour prendre une petite revanche".

Goal

Schweinsteiger : "Milan fait plus peur que l'Inter"

Le milieu de terrain du Bayern Munich Bastian Schweinsteiger a taquiné son futur adversaire, l'Inter, avant le 8e de finale aller de Ligue des champions entre les deux équipes mercredi, en disant que l'AC "Milan a plus de noms qui font peur que l'Inter".

"Le Milan a plus de noms qui font peur que l'Inter, selon moi", a lâché Schweinsteiger dans un sourire, faisant rire la salle de conférence de presse. Il répondait à une question sur les joueurs les plus dangereux de l'Inter. L'AC Milan (1er) et l'Inter (3e) sont à la lutte pour le titre de champion d'Italie.

Top Mercato

Schweinsteiger qui a pris 5 jaunes est suspendu pour la rencontre de ce week-end face à Hanovre.

"Schweini" trauert van Gaal nach

Bastian Schweinsteiger bedauert den Abgang von Bayern-Trainer Louis van Gaal.

"Es ist schon schade, dass er geht. Der FC Bayern hat viel von ihm profitiert. So einen Fußballstil hatten wir in München noch nicht. Damit hätten wir fast das Triple gewonnen", erklärte er auf SPORT1-Nachfrage.

Für Schweinsteigers Leistungssprung war van Gaal ein Gewinn. "Er ist im positiven Sinne ein spezieller Typ und ich habe unter ihm im defensiven Mittelfeld eine sehr gute Entwicklung genommen. Aber die Entscheidung ist getroffen, man muss das akzeptieren und das Beste draus machen. Und das versuchen wir zunächst Samstag mit einem Sieg", sagte Schweinsteiger.

Nach der Niederlage in Hannover hatten die Bayern-Bosse bekanntgegeben, dass der Vertrag mit van Gaal zum Saisonende aufgelöst wird.

Sport1

Schweinsteiger : « On ne sous-estimera pas l’Inter »

Ce mardi, en huitièmes de finale retour de la Ligue des Champions, le Bayern de Munich accueille l’Inter à l’Allianz Arena. Vainqueur 1 à 0 à l’aller, le club bavarois part favori de ce duel, mais il ne se voit pas qualifié avec l’heure.

Neuf mois après s’être incliné à Bernabeu en finale de la précédente Ligue des Champions, le Bayern a pris sa revanche il y a trois semaines sur l’Inter en gagnant 1 à 0. Une revanche qu’il n’a savouré cependant qu’à moitié puisqu’il reste la seconde manche à disputer ce mardi à domicile. En vue de ce rendez-vous, les hommes de Van Gaal se disent confiants, mais pas trop. « On veut le faire. La Ligue des Champions est notre dernière chance de gagner quelque chose cette saison et on fera tout pour » a assuré Bastian Schweinsteiger, « mais ça ne veut pas dire qu’on sous-estime l’Inter. Ils restent toujours les tenants, donc il n’y a pas de risques pour qu’on les prennent de haut ». Ses paroles se vérifieront-elles ? Réponse ce mardi.

Goal

Schweinsteiger comprend Zidane pour Materazzi

Après son altercation avec Marco Materazzi, mardi soir face à l'Inter (2-3) en 8es de finale retour de C1, l'international allemand du Bayern Munich, Bastian Schweinsteiger, a admis qu'il comprenait la réaction de Zinédine Zidane qui avait donné un coup de tête au défenseur italien en finale du Mondial 2006.

«Je comprends ce qu'a pu ressentir Zidane. Materazzi a commencé à me provoquer avant même le coup d'envoi quand nous étions dans le couloir et il n'a pas arrêté ensuite, a expliqué Schweinsteiger. Il a fait avec moi ce qu'il avait fait avec Zidane».

Au coup de sifflet final, alors que les joueurs de l'Inter célébraient leur qualification en quarts de finale grâce à un but marqué à la 88e minute, Schweinsteiger s'en est pris verbalement à Materazzi. Il s'est ensuite montré menaçant, obligeant ses coéquipiers et des membres de l'encadrement milanais à intervenir pour le ceinturer et le calmer.

Francefoot

Bastian Schweinsteiger (milieu de terrain du Bayern Munich) : «Je ne sais pas quoi dire, si ce n'est qu'on a mal joué et qu'on n'a pas su concrétiser nos occasions. On a eu plusieurs occasions où on était 4 contre 2 et on ne les a pas mises au fond. On n'a pas bien joué d'un point de vue tactique. Je ne comprends pas comment on peut laisser filer la qualification quand on mène 2 à 0 à domicile, et qu'on maîtrise le match face à une équipe qui n'est pas réputée pour son jeu offensif. Je suis très déçu, mais ce résultat est malheureusement conforme à notre saison. Ce n'est pas la faute de la défense, c'est la faute de toute l'équipe qui doit défendre. L'entraîneur nous prépare très bien, mais le problème, c'est qu'on n'applique pas sur le terrain ce qu'il nous dit. Il faut maintenant relever la tête en Championnat et obtenir notre qualification pour la Ligue des champions pour la saison prochaine». @ Francefoot

Une pettite remise en question lui ferai sans doute le plus grand bien.

Interview Bastian Schweinsteiger

http://www.tz-online.de/sport/fc-bayern/schweinsteiger-haette-brutaler-sein-muessen-1172708.html

Le blues de Schweinsteiger

Depuis le Mondial-2010 en Afrique du Sud, Bastian Schweinsteiger déchante: il est le devenu le symbole de la piteuse saison de son club, le Bayern Munich, et les supporteurs de l'équipe d'Allemagne ont commencé à le prendre en grippe.

Qu'il semble loin pour Schweinsteiger ce bel été 2010 où il avait enthousiasmé avec ses jeunes coéquipiers de la Nationalmannschaft la planète football au point d'être inclus dans l'équipe-type du tournoi. Neuf mois plus tard, le milieu de terrain de 26 ans affronte samedi la lanterne rouge Mönchengladbach pour tenter de sauver la saison du Bayern, 4e de la Bundesliga et éliminé de la Ligue des champions dès les 8e de finale.

Pire, contre le Kazakhstan en match de qualification à l'Euro-2012 (4-0) et l'Australie en match amical (1-2) la semaine dernière, "Schweini", surnom qu'il exècre désormais, a été copieusement sifflé, à force de passes ratées et de décisions bien peu inspirées. Le comportement du public a tellement déplu à Joachim Löw qu'il s'est senti obliger de voler au secours d'un joueur affichant déjà 87 sélections (21 buts): "Lui aussi a le droit d'avoir un jour sans, loin du niveau auquel il nous a habitué". Les propos du sélectionneur allemand pourraient toutefois résumer sa saison 2010-11.

Vernis
Comme ses coéquipiers internationaux allemands, il est revenu fatigué, mentalement et physiquement, d'Afrique du Sud, mais si Philipp Lahm et Thomas Müller se sont depuis refaits une santé, Schweinsteiger n'a toujours pas retrouvé l'énergie qu'il avait la saison précédente. Il n'a pas été aidé, il est vrai, par la décision de Louis van Gaal de l'aligner au poste de milieu offensif pour compenser les blessures des uns et méformes des autres.

"J'aurais pu dire non, je n'ai jamais caché que je préférais avoir un rôle plus défensif, mais je le fais pour le bien de l'équipe", a reconnu Schweinsteiger qui, convoité par les plus grands clubs d'Europe, a prolongé cet automne son contrat avec le Bayern jusqu'en 2016. Autre élément à sa décharge, le départ en janvier du capitaine Mark van Bommel pour l'AC Milan, son partenaire dans l'entre-jeu depuis 2006.

Si Schweinsteiger qui, plus jeune, s'est vernis les ongles en noir et changeait régulièrement de coupes de cheveux, s'est assagi, il doit maintenant convaincre qu'il peut devenir un leader sur le terrain pour un Bayern en perdition en mars. "J'aurais pu être plus virulent avec certains de mes coéquipiers et tenter de les réveiller sur le terrain", a-t-il reconnu. Et de proclamer sa foi dans son club-formateur qui l'a lancé en 1re division à 18 ans: "Il n'y a pas beaucoup d'équipes qui soient meilleures que nous en Europe, nous avons tout ce qu'il faut pour remporter prochainement la Ligue des champions"

FIFA.COM

Un petit tour sur le banc lui ferait sans doute le plus grand bien...

Selon Effenberg la baisse de forme de Schweinisteiger est due à Van Gaal qui le fait jouer à des postes qui ne sont pas le sien, mais aussi à la vente de Van Bommel, qui faisait un gros travail défensif.

"Wir haben jetzt noch sechs Mal die Möglichkeit, drei Punkte zu holen. Wenn wir jedes der ausstehenden Spiele mit vollem Engagement angehen, dann können wir noch 18 Punkte holen. Wofür das dann gut ist, wird man dann sehen", rechnet Schweinsteiger vor." @ Bastian Schweinsteiger

Très bon en math Bastian ! Seulement entre la pratique et la théorie il y a un monde.

Schweini lance un appel au fan's du Bayern

Nach den Fan-Anfeindungen gegen Bayern-Präsident Uli Hoeneß am vergangenen Spieltag hofft Bastian Schweinsteiger im Derby beim 1. FC Nürnberg auf einen anderen Auftritt des eigenen Anhangs. „Ich hoffe, dass von den Fans nicht Politik betrieben wird, sondern dass sie uns positiv anfeuern werden”, sagte der Fußball-Nationalspieler in München. „Ich würde mir wünschen, dass solche Aktionen nicht noch mal vorkommen.” Man brauche die Fans für den Erfolg. Einen Tag vor der Partie beim „Club” betonte Torjäger Mario Gomez, dass man das Thema „beiseite schieben” müsse. „Wir müssen gewinnen”, sagte der Angreifer, der „auf Sieg” spielende Nürnberger erwartet.

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"J'espère que de telles actions ne se reproduiront plus". "Nous avons besoin des fans pour nous encourager."