[Staff] Uli #Hoeneß

L'emblématique dirigeant bavarois a par ailleurs révélé qu'il avait failli recruter Jürgen Klopp, actuel entraîneur de Dortmund, en 2008 avant d'être convaincu par ses collègues de donner sa chance à Jürgen Klinsmann. "Je me suis laissé convaincre qu'on devait tenter l'aventure Klinsmann alors que je m'étais engagé verbalement avec Klopp (...) Ce fut une grosse erreur, on ne vient pas de le réaliser maintenant", a-t-il indiqué.

Hoeness y croit encore

Le président du conseil de surveillance du Bayern Munich espère un faux pas du Borussia Dortmund avant la fin de la saison.

Uli Hoeness espère toujours que le Bayern Munich conserve son titre de champion d'Allemagne et espère une mauvaise passe de Dortmund, leader avec 14 points d'avance sur le club bavarois, 3e. «Ils vont bien devoir perdre un match à domicile, ils n'ont pas encore connu de crise et je compte là-dessus», a déclaré jeudi le président du conseil de surveillance du Bayern Munich.

«Dans notre for intérieur, nous croyons toujours que Dortmund va connaître un fléchissement et nous devrons être là pour en profiter», a-t-il poursuivi. Le dirigeant bavarois s'est dit par ailleurs «très confiant» sur la capacité de son équipe à atteindre son objectif minimal, à savoir la 2e place directement qualificative pour la Ligue des champions.

L'équipe

Il croit encore et toujours au père Noël...

Maintenant faut vraiment arrêter d'aller voir la vierge à Lourde et de prendre les supporters pour des abrutis!

Hoeness veut sauver la saison

N'ayant plus rien à espérer en Championnat, si ce n'est une place qualificative en Ligue des champions, le Bayern Munich devrait se recentrer sur les deux autres compétitions qu'il lui reste à jouer, à savoir la Coupe d'Allemagne et la Ligue des champions. «Je serais satisfait si nous atteignons les quarts de finale ou les demi-finales de la Ligue des champions et si en plus, on est en finale de la Coupe d'Allemagne», a en effet déclaré Uli Hoeness, le président du conseil de surveillance du club bavarois, au magazine Sport Bild. Les prochaines semaines s'annoncent donc capitales pour les hommes de Louis van Gaal qui retrouveront l'Inter Milan en 8e de finale de la Ligue des champions (aller le 23 février, retour le 15 mars) et reçoivent Schalke 04 le 2 mars en demi-finale de la Coupe d'Allemagne.

L'équipe

Alors que le Bayern Munich dispute ce soir son huitième de finale aller de la Ligue des Champions à Milan, son Président semble déjà tourné vers le choc de la Bundesliga qui aura lieu samedi contre le BVB.

Jamais avare en commentaires bien sentis, sûr de son fait, Uli Hoeneß a tenu à clamer la supériorité de son club, quitte à faire passer ce match très attendu pour une formalité. Le dirigeant bavarois n'hésite pas à déclarer qu'il s'attend à "une victoire très nette", ajoutant qu'un match nul ou une défaite sont "totalement exclus". "Nous sommes la meilleure équipe. Dortmund n’a aucune chance. Nous allons gagner avec deux buts d’écart" a-t-il encore affirmé.
Seul l'avenir proche pourra lui donner raison... ou tort ! @ BVB.fr

Tout dépendra du résultat du match face à l'Inter ce soir, si on se ramasse un résultat négatif il ne faudra pas rêver on risque de perdre contre dortmund car déjà cuit physiquement, mais mentalement on aura pris une claque...

Uli Hoeneß reagiert im tz-Interview

http://www.tz-online.de/sport/fussball/fc-bayern/fcb-bosse-suedkurve-fans-kritik-1146724.html

Hoeness critique la DFB

Le président du conseil de surveillance du Bayern Munich, Uli Hoeness, a critiqué la Fédération allemande (DFB) pour avoir organisé un match amical contre l'Australie mardi ne présentant qu'un intérêt financier aux yeux du dirigeant bavarois. "Ce match, on peut s'en passer. Il n'est pas organisé pour tester (des joueurs, NDLR), mais pour que la DFB encaisse cinq millions d'euros", a déclaré Hoeness lundi soir.

"C'est difficile de comprendre pourquoi on organise un tel match à un moment si important dans le Championnat où se jouent le titre et l'existence de certaines équipes", a-t-il ajouté. Selon Hoeness, réputé pour son franc parler, "un match entre l'équipe A et l'équipe B du Bayern est plus intense" que ce duel contre l'Australie, réédition du match du 1er tour du Mondial-2010 remporté 4 à 0 par la Nationalmannschaft. Le dirigeant bavarois a toutefois reconnu que l'Allemagne, leader de son groupe de qualifications à l'Euro-2012 avec un carton plein de 15 points, était "favorite pour le titre avec l'Espagne".

Eurosport

Toujours la critique façile Uli...

Les fans du Bayern en veulent à Hoeness

La victoire du Bayern, samedi contre Gladbach (1-0), n'a pas calmé les supporters, qui ont protesté contre la venue programmée de Manuel Neuer, le gardien de Schalke 04, la saison prochaine. En fait, ils ne veulent pas que le club dépense 20 millions d'euros pour recruter le portier d'un club rival et ont d'ailleurs déployé une banderole pour le faire savoir : «Neuer est pour nous ce que Daum est pour toi», y était-il écrit à l'attention du président bavarois Uli Hoeness, en référence à l'entraîneur Christoph Daum, ennemi intime de ce dernier.

Sur une banderole, le dirigeant a pu lire : «Qui donne des millions aux Bleus ne mérite pas notre confiance. Hoeness, menteur». Des propos sur lesquels le directeur sportif du Bayern, Christian Nerlinger, s'est expliqué dimanche dans le journal Bild am Sonntag. Celui-ci a fait part de sa «honte pour le comportement d'une partie des supporteurs vis-à-vis de quelqu'un qui est dévoué corps et âme à ce club depuis 30 ans».

Francefoot

Hoeness enfonce Van Gaal

«La belle histoire selon laquelle les joueurs soutenaient l'entraîneur, c'était du pipeau», a déclaré Uli Hoeness dimanche pour expliquer le licenciement de Van Gaal.

Uli Hoeness a justifié dimanche le licenciement de Louis van Gaal par la distance qui s'était créé entre le Néerlandais et ses joueurs et le climat morne dans le vestiaire. «La belle histoire selon laquelle les joueurs soutenaient l'entraîneur, c'était du pipeau, a reconnu le président du conseil de surveillance du Bayern. Il avait perdu le contact avec son équipe. Il n'y avait plus de joie depuis longtemps dans le vestiaire et au siège du club».

Selon Hoeness, la décision de titulariser Thomas Kraft à la place de Jörg Butt dans les buts en janvier a marqué le début de la fin : «C'est à partir de là que la m...de a commencé, cela a complètement déstabilisé la défense», a-t-il estimé.

L'équipe

Le président du club Uli Honess a également été très sévère en critiquant également Van Gaal : "Dire que les joueurs ont soutenu l'entraîneur est un conte de fée. Vous avez le sentiment qu'un ou deux joueurs ont été paralysés par la peur ces dernières semaines." Les membres du conseil s'attendent maintenant à un redressement énergique contre le Bayer Leverkusen ce week-end. Comme Honess l’a relaté, il prévoit une révolte de ses hommes : "Les joueurs ont porté une camisole de force mentale pendant des mois, ils en sont sortis". @ Goal

Le Bayern «jamais sans Uli» Hoeness

Des associations de supporters du Bayern Munich ont prévu d'organiser durant le match de la 30e journée contre le Bayer Leverkusen, ce dimanche, une manifestation de soutien au président bavarois Uli Hoeness, insulté lors de la dernière rencontre à domicile. Cette opération a été baptisée «Mia san Uli» (Jamais sans Uli).

«Nous voulons que le stade soit tout de rouge vêtu pour démontrer que les supporteurs sont en grande majorité favorables à Hoeness et ne comprennent pas les insultes qui ont été lancées», a expliqué l'un des initiateurs, Fabian Bartosch, au quotidien Münchner Merkur. A l'issue de la première période, les supporters pro-Hoeness seront invités à se lever et à chanter leur soutien à l'ancien international.

Les anti-Hoeness, issus d'un groupe d'ultras du virage Sud, lui reprochent de vouloir aider financièrement le club rival de Munich 1860, au bord de la faillite, et de vouloir recruter Manuel Neuer, actuellement à Schalke 04. Hoeness, qui a fait pratiquement toute sa carrière de joueur au Bayern avant de devenir dirigeant du prestigieux club bavarois, s'était dit «choqué» par ces manifestations d'hostilité.

Francefoot